Nous venions de tout en bas, du creux de la vallée. Nous avions décidé de monter jusqu’à un lac : le grand Laus du Malriff. Nous pensions avoir fait le plus dur du chemin. Nous nous le sommes dit à chaque passage de crêt « ça y est on arrive » persuadés que le chemin ne pouvait pas continuer à monter encore. Et chaque crêt en cachait un autre, puis un autre… plus loin, plus haut. Et nous montions toujours, avec l’espoir d’apercevoir enfin le lac espéré. Ça valait le coup, nous sommes passés par des paysages extraordinaires. La montagne nous a donné le meilleur qu’elle pouvait. Il faisait bon, pas trop chaud, pas trop de vent, de beaux passages ensoleillés. Nous avons rencontré des animaux bizarres.
Nous avons croisé des animaux bizarres |
des moutons égaré |
Nous avons croisé des
moutons égarés. Nous avons vu des marmottes qui se remettaient du rouge à
lèvres à l’entrée de leur terrier (pas de photos, elles ne m'ont pas donné l'autorisation de publier leur image)… Nous étions fatigués, mais contents lorsque,
enfin, Le grand Laus s’est offert à nous. Magnifique ! bordé de jolies
linaigrettes.
La descente a été dure elle aussi, mais quel plaisir à l’arrivée
d’aller manger une bonne omelette aux champignons à la guinguette à Didier au
camping de Ristola, route de la Monta. (Joli camping pour vrais campeurs tenu
par Didier, pilier de rugby, et amoureux du Queyras dont il sait partager la
passion)
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