Les beaux
jours reviennent et avec eux les premiers rayons de soleil un peu chauds. Mon blog
reprend du service après un petit problème de santé (vilains virus résistants)
Notre
péninsule… que dis-je péninsule, notre cape de la Hague, est un espace restreint,
mais quel espace ! De par la modestie de sa surface et la grande diversité
de ses paysages, c’est une surprise à chaque virage.
Il n’est pas
étrange de faire souvent les mêmes rencontres.
Aujourd’hui,
c’est la cavalière de l’article du 13 Novembre 2016 (Un dimanche bien occupé) que nous retrouvons devant le magnifique
paysage de Landemer.
Elle est
suivie d’un bel attelage solo (autre surprise,
autre hasard) tiré par ce que je pense être ou un percheron ou un cob
normand. Je penche vers le percheron car il me semble que le cob est moins
massif que celui-ci. (je ne suis pas un
spécialiste) De plus il a de beaux
fanons blancs ce qui est peu fréquent chez le cob. Les paturons me paraissent
plus épais que celui du cob.
Si son
propriétaire visite le blog, je serais content qu’il me renseigne dans les commentaires. Il faut cliquer sur "aucun commentaire" à la fin de l'article et une fenêtre s'ouvre pour écrire.
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Avec l'aimable autorisation du meneur |
A cet
endroit même, où je prends la photo, le peintre Jean-François Millet s’est
assis plusieurs fois pour peindre les falaises de Landemer et le Castel Vendon, il y a une centaine d'années.
Ce paysage présente une couleur par saison.
En ce moment, c'est le brun qui domine, les fougères ont disparues les ajoncs et les bruyères sont fanés
Bientôt le printemps, le jaunes des fleurs d'ajonc va prendre le dessus, tache de soleil dans un paysage qui en a bien besoin.
L'été, les fougères auront reconquit leur espace. les falaises seront vertes.
Elles laisseront pendant l'automne les bruyères épanouir leur couleur mauve.
Promis, juré, je prendrais le soin de venir vous montrer ce phénomène
dans des articles à venir.